Lorraine et Peter nous avaient donc propose de venir passer quelques jours chez eux. Et ils pousseraient la bonne humeur jusq'au Park National de Moab : la bagatelle de 800 km "aller-retour". Non, non, cela ne les derangerait pas : ils adorent se rendre la-bas, et vous verrez, c'est unique au monde. L'excitation monte jusqu'aux oreilles : cette parenthese automobile nous permettra de gagner une semaine... Souvenez-vous : "90 days, no more!".
Mais nous etions loin d'imaginer que ce week-end a Moab serait l'un des points d'orgue de notre voyage... Deux jours de magie pure!
La magie du paysage d'abord. Magique, parce qu'inconnu du chaland. A l'inverse du Yellowstone, Arches National Park ne se targue pas d'exister sur la une des magazines. Mais si le 1er est un mythe revele, le 2nd est bel et bien un tresor a decouvrir. Rien n'est vulgaire ici. Seule la grace habite ces contrees. Nous deambulons dan le nefs d'une immense cathedrale rocheuse. A chaque virage, nous decouvrons une nouvelle chapelle voutee : les fameuses arches qui font la reputation du parc. Nous touchons la pierre, la foulons, la caressons, la mitraillons de photos... Mais est-il possible de fixer la magie? Tout est dans l'instant, dans la lune qui se leve et nous eclaire, dans la brise qui nous effleure, dans la seconde qui passe sans nous inquieter. Nous sommes pleinement presents. Pleinement heureux. Emus de decouvrir tant de beaute. Une idee du bonheur parcoure nos veines. Et nos sourires.
Magie d'une rencontre ensuite.
Il est difficile de decrire les gens qu'on aime. Trop peur d'ecorner l'image, de la rendre floue. Trop peur d'en ternir la couleur. Mais Lorraine et Peter sont bien plus qu'une image a present. Et je sais que si je perd le souvenir de leurs traits ou de leurs voix, je n'en perdrai pas la chaleur.
Car c'est bienune impression de chaleur qui nous reste de cette rencontre. Chaleur de la generosite spontanee. Chaleur d'une complicite progressive. Chaleur surtout d'un couple heureux de vivre ensemble.
Qu'il est bon de voir les gens heureux!
Les images ne peuvent fixer la magie, nos mots non plus. Il faudrait raconter aussi le petit dejeuner d'anniversaire d'un des neveux de Lorraine. Il faudrait raconter la grande descente en jeep au fin fond du canyon. Il faudrait raconter la plus belle randonnee de notre vie.
Ou peut-etre ne faudrait-il pas.
Le bonheur se raconte mal, parce qu'il se vit de l'interieur. Mais j'aime a croire qu'il se laisse partager.
Mais nous etions loin d'imaginer que ce week-end a Moab serait l'un des points d'orgue de notre voyage... Deux jours de magie pure!
La magie du paysage d'abord. Magique, parce qu'inconnu du chaland. A l'inverse du Yellowstone, Arches National Park ne se targue pas d'exister sur la une des magazines. Mais si le 1er est un mythe revele, le 2nd est bel et bien un tresor a decouvrir. Rien n'est vulgaire ici. Seule la grace habite ces contrees. Nous deambulons dan le nefs d'une immense cathedrale rocheuse. A chaque virage, nous decouvrons une nouvelle chapelle voutee : les fameuses arches qui font la reputation du parc. Nous touchons la pierre, la foulons, la caressons, la mitraillons de photos... Mais est-il possible de fixer la magie? Tout est dans l'instant, dans la lune qui se leve et nous eclaire, dans la brise qui nous effleure, dans la seconde qui passe sans nous inquieter. Nous sommes pleinement presents. Pleinement heureux. Emus de decouvrir tant de beaute. Une idee du bonheur parcoure nos veines. Et nos sourires.
Magie d'une rencontre ensuite.
Il est difficile de decrire les gens qu'on aime. Trop peur d'ecorner l'image, de la rendre floue. Trop peur d'en ternir la couleur. Mais Lorraine et Peter sont bien plus qu'une image a present. Et je sais que si je perd le souvenir de leurs traits ou de leurs voix, je n'en perdrai pas la chaleur.
Car c'est bienune impression de chaleur qui nous reste de cette rencontre. Chaleur de la generosite spontanee. Chaleur d'une complicite progressive. Chaleur surtout d'un couple heureux de vivre ensemble.
Qu'il est bon de voir les gens heureux!
Les images ne peuvent fixer la magie, nos mots non plus. Il faudrait raconter aussi le petit dejeuner d'anniversaire d'un des neveux de Lorraine. Il faudrait raconter la grande descente en jeep au fin fond du canyon. Il faudrait raconter la plus belle randonnee de notre vie.
Ou peut-etre ne faudrait-il pas.
Le bonheur se raconte mal, parce qu'il se vit de l'interieur. Mais j'aime a croire qu'il se laisse partager.
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